Durant cette première journée, on a visité la Maison des Projets de Nice Centre. Ils s'occupent d’urbaniser la ville, de la penser pour demain. Ils ont plusieurs partenaires pour financer leurs projets. Ils veulent améliorer la ville, en créant ou en rénovant des bâtiments. Pour cela ils travaillent en transversalité, c'est très important. Donc il y a plusieurs métiers. Yasmine Malivel, chef de projet et architecte DPLG. Marion, qui après avoir fait des études de droit et de sciences criminelles,

 est devenue chargée de mission, et peut détecter des pathologies chez des personnes. Et Julien, qui est apprenti.

Leur but est de mener à bien leur projet sur le terrain. Ils visent un objectif. L'objectif défini et les moyens mis en place sont plus importants que le résultat. La PNRQAD consiste à étudier les bâtiments. Quand il sont trop vétustes, ils incitent le propriétaire à rénover. S'ils n'acceptent pas, ils lui imposent la rénovation. Ils s'occupent de reloger les personnes et travaillent dans l'individualité. Leur but final est d’améliorer l'image du quartier.

Ensuite, on est parti à l'ESPE pour rencontrer Margarida, formatrice de professeurs du niveau primaire et enseignante-chercheuse. On a aussi rencontré Benjamin, prof d'histoire-géo et de techno en seconde au Québec. Ils nous ont fait découvrir des sortes de composants électroniques qui permettent de construire des petits robots multifonctions. Puis, un par un, on a fait une activité, qui consistait à construire un véhicule se déplaçant en ligne droite à l'aide des 4 cubes qui avaient des fonctions différentes : interrupteur, roue, etc...

Le but était de voir notre réaction et d'analyser notre solution. On m'a dit que les adultes avaient plus de mal à résoudre le problème car ils cherchent trop compliqué. C’était une visite très enrichissante et on a appris beaucoup de choses et beaucoup de métiers.  

En ce deuxième jour,nous avons visité le sémaphore de Saint Jean-Cap-Ferrat. Un sémaphore est une sorte de tour de contrôle qui appartient à la Marine. Il y en a 19 en France, dont 7 en corse. Ils sont répartis de la frontière italienne à celle d’Espagne de telle sorte qu'ils puissent observer tout les recoins. Ils contrôlent les bateaux grâce à une fréquence radio. Chacun d'eux doit s' identifier. On a découvert plusieurs métiers, on a pu observer les bateaux grâce a des jumelles. C’était magnifique !! Il y avait une vue exceptionnelle ! C’était super, et ça nous a passionné !

On a même vu une antenne géante, qui permet de faire fonctionner nos téléphones.

Les mots importants dans la marine sont : Honneur, valeur, patrie, discipline.

On avait un peu de retard donc on a dû manger dans le bus. Puis on est parti en direction de Sophia-Antipolis. On a été accueillis par Phillippe Blanc, Paula Perez Lopez, Romain Castellani, Mélodie Trolliet, et Benoît Tournadre.

Leurs thématiques sont : 

-les ressources solaires

-les centres solaires sur Tracker 1 axe (ce sont des panneaux photovoltaïques qui suivent le soleil)

-les impacts environnementaux

-la création de polymères, et pour cela nous avons vu de grosses machines qui fabriquaient des bouteilles en plastique, c’était surprenant.

Il y a 18 centres de recherche dans toute la France depuis 1785 dont 4 à Sophia.

LE SAVIEZ VOUS  :

depuis 60 ans, l'humanité consomme 6x plus d’énergie !!

Un nutritionniste aide à améliorer le quotidien des gens en donnant des conseils. Son adaptabilité lui permet d'agir en fonction des besoins de chaque individu. La nutrition comporte 7 catégories, toutes essentielles a l'organisme. Le sucre reste subsidiaire.

Hannah, la nutritionniste que nous avons rencontré, a fait un DUT nutritionniste. Elle peut exercer dans divers domaines: 

les crèches , cantines , Thalasso . Nous avons été impressionnés par le taux de sucre présents dans la "mal bouffe". Ça nous a plu, on s'est un peu remis en question.

Ensuite Magali nous a réunis pour nous montrer une expérience . On devait détecter de l'amidon dans différents aliments : banane, pain, pomme, patate grâce à la teinture à l'iode qui devient violette au contact de l'amidon.

L'amidon est une sorte de sucre complexe. Puis on a mis du permanganate de potassium dans du vinaigre et il devenu tout violet.

On ajouté au fur et à mesure du jus de citron, et on voyait que la couleur disparaissait parce que le citron contient de la vitamine C.

On a mis un œuf dans du vinaigre et à notre retour la couleur de la coquille avait disparu.

Puis après avoir mangé sur la coulée verte on est partis chez Francis, un ingénieur du son qui a transformé une partie de sa maison en studio d'enregistrement.

Ils nous a expliqué le choix des différents matériaux pour étouffer le son.

Puis on s'est échauffé la voix, et on a enregistré une chanson!

C'était très stressant de chanter mais c'était bien.

Cette journée a été très enrichissante parce que encore une fois on a appris beaucoup de choses.

C'est déjà l'avant dernier jour. On s'est rendu au rectorat de Nice pour visiter les bureaux de l'ONISEP ( office national d'informations sur l'enseignement de profession).  On a rencontré Marie-Hélène et Véronique. On a fait un tour de table pour se présenter.

Marie Hélène qui est chef de service, est aussi une ancienne enseignante. Elle nous a demandé quel était pour nous le métier le plus extraordinaire et, après nos réponses, elle a conclu qu'on avait un esprit solidaire.

Marie Hélène a aussi enseigné le français dans d'autres pays comme la Chine, la Suisse, en Malaisie et en Norvège.

Véronique est documentaliste, elle a fait un bac L. Son rôle est de vérifier l'actualité des informations autour des métiers et des formations. Chaque jour elle vérifie les mails, mets à jour les informations et les transmets pour les différents guides.

Nous avons fini la rencontre par un quiz sur les stéréotypes. Par exemple, nous avons dû transformer certains métiers en version féminine... Comment féminiser le métier de " jardinier" ou de " portier"? Drôle....

Puis on s'est rendus au musée du sport a Nice, il est adjacent au stade Allianz Riviera.

Flora, notre guide, nous a fait visiter le stade. Elle nous a expliqué qu'il a été construit en 2011 pour remplacer celui du Ray et qu'il avait besoin d'un sponsor. C'est pour cela qu'il porte le nom d'une entreprise d'assurance.

Elle nous a montré les vestiaires des joueurs de l'OGC NICE et les tribunes V.I.P.

Elle nous a aussi dit que quand un autre club vient,  les employés cachent les logos du club de Nice.

Les cages de football peuvent être déplacées ou retirées pour les remplacer par un équipement sportif d'une autre profession.

Pendant les matchs, chacun a sa place, déterminée selon le grade inscrit sur le badge.

Une salle est réservée pour la presse.

Tout le monde a apprécié cette sortie, c'était passionnant, on a compris et appris plein de choses.

Noëlle Cornu et David Faure sont deux personnages célèbres. Leur métier leur a permis de voyager dans le monde entier. Ce sont des cuisiniers connus et très reconnus pour leur cuisine unique et époustouflante. Ils nous ont montré une recette de cuisine pourtant facile et totalement étonnante car lorsqu'on la regarde, nos yeux trompent notre cerveau qui pense voir du jambon, mais en vrai c'est de la tomate mozzarella au pistou. Ils nous ont raconté leur histoire et leur idée de créer un restaurant nomade, sans mur, à domicile.

Noëlle n'a pas eu le droit d'apprendre la cuisine lorsqu'elle était enfant. Elle a donc poursuivi de longues études de commerce et d'agroalimentaire alors que David pouvait cuisiner mais n'avait pas assez d'argent pour faire ses études. C'était un enfant rebelle, mais tellement passionné. Cela lui a permis de redoubler d'effort afin d'atteindre ses objectifs : devenir un grand Chef Cuisinier Français et faire le tour du monde !

Noëlle et David ont conclu une alliance dans la vie professionnelle et dans l'amour.

Aujourd'hui ce couple travaille ensemble en prenant du plaisir à cuisiner.

Lorsque Noëlle et David parlent de leur cuisine, ils expriment leur joie, leur bonheur, et l'amour, c'est beau et c'est bon !

Pour conclure et pour vous, les VIP,  voici la recette pour étonner tous vos amis !

Ingrédients :

1 demi litre de sauce tomate

5 gr d'Agar Agar

3 feuilles de Gélatine végétale

1 demi litre de lait

4 gr d'Agar Agar

De la Mozzarella

du sel

Du Pistou

Recette :

Dans une casserole verser la sauce tomate

Dans l'autre le lait

Laisser chauffer à feu doux quelques instants

Ajouter l'Agar Agar 4 gr pour le lait, 5 gr pour la sauce tomate

Laisser cuire environ 1 minute jusqu'à l'obtention d'une texture visqueuse mais liquide, test à réaliser dans une cuillère à soupe.

Rajouter deux feuilles de Gélatine dans la sauce tomate, puis une dans le lait.

Bien mélanger.

Sur une plateforme lisse, formez la forme d'une tranche de jambon.

Laisser refroidir.

Pendant ce temps, dans votre assiette, disposez le pistou, la Mozzarella, salez et poivrez.

Puis recouvrez après avoir démoulé votre jambon virtuel et recouvrez votre Mozzarella afin de la cacher.

Bon appétit !

Guillaume et Samir nous ont présenté leur équipement qui se compose de : 

-Manomètre

-Profondimètre

-Une bouteille pour respirer composé d'Azote, de CO2, d'Oxygène et d'autres gaz utile pour notre respiration.

-Un couteau qui sert à se dégager des fils de pêche.

-le gilet gonflable qui sert à se stabiliser en cas de danger

-d'une bouée de surface et de repérage 

-d'une torche

La vérification du manomètre aide à savoir le pourcentage d'autonomie que permet la bouteille. C'est donc vital.

En cas de panne, il y a deux détendeurs pour aider le collaborateur. Il est essentiel pour descendre aussi profond ( 50 mètres) d'évoluer en binôme.